La vitamine D est une hormone importante pour les os, les muscles et le système immunitaire. Une partie de nos besoins vient de l’alimentation, une partie de l’exposition au soleil sans crèmes protectrices. La réserve estivale ne suffit pas : voici comment procéder
Si important parce que une hormone même si elle s’appelle vitamine D. Et célèbre comme vitamine du soleil. En effet, il est synthétisé dans la peau après exposition aux rayons ultraviolets B, ceux qui atteignent le tissu sous-cutané. une hormone liposoluble et pour cette raison elle a besoin d’un peu (pas trop) de cholestérol pour se développer, explique Maria Luisa Brandi, endocrinologue, présidente de l’Observatoire des fractures de fragilité (Off) et de la Fondation italienne de recherche sur les maladies osseuses (Je signe).
Son rôle principal est de réguler l’absorption intestinale du calcium et du phosphore, favorisant la formation et la minéralisation normales deos. Il garantit également une contractilité normale musclé et interagit avec le système immunitaire exerçant un effet immunomodulateur. Il se présente sous deux formes importantes pour l’homme : la vitamine D2 (ergocalciférol), qui est prise avec nourriture à base de planteset le D3 (cholécalciférol) qui est synthétisé par l’organisme lorsque nous nous exposons à Soleil soit nous mangeons des aliments d’origine animale qui en contiennent.
Comment en avoir assez en hiver ?
L’offre estivale ne suffit pas à garantir les besoins pour toute l’année. Même de novembre à mars, il est bon d’exposer au moins son visage, son cou, ses bras et ses mains au soleil pendant 30 minutes par jour. Juste pour cette demi-heure sans crème solaire, qui empêche les rayons UVB d’agir (le reste du temps il est toujours indispensable de le diffuser, avec une protection 30 ou 50 selon la peau plus ou moins claire, sur toutes les parties exposées du corps car vous vous protégez du risque du mélanome). L’autre source naturelle de vitamine D est l’alimentation, qui fournit 10 à 20 % des besoins. Les aliments qui en sont les plus riches sont : poisson gras (comme le vivaneau, le cabillaud, la daurade, l’aiguillat commun, la sole), lait, produits laitiers et fromages, porc, foie de bœuf, huile de foie de morue, jaune d’oeuf et champignons.
Quels facteurs affectent l’absorption ?
Outre l’exposition au soleil et l’alimentation, l’âge avancé, le tabagisme, l’obésité, l’excès d’alcool, certains médicaments, des pathologies comme la maladie cœliaque, la maladie de Crohn, l’ostéoporose, l’hyperparathyroïdie comptent. Il n’est pas possible de suggérer une recommandation générale pour tout le monde car elle change, chez chacun, la quantité ingérée et absorbée, la quantité métabolisée et la manière dont la quantité devient accessible. Les signes que signalent les patients et qui peuvent faire suspecter le médecin d’un éventuel la carence est une faiblesse musculaire et des douleurs dans les muscles et les os.
Comment estimer sa réserve de vitamine D ?
La méthode la plus précise est la mesure de la vitamine D métabolisée par le foie sous sa forme sérique avec un collecte de sang: on parle de déficit lorsque les taux sanguins sont inférieurs à 30 ng/L (nanogrammes par litre). Les résultats des analyses doivent être évalués par le médecin, le seul à pouvoir indiquer si nécessaire de prescrire un supplément ou recommander des aliments enrichis en D. En analysant plutôt le calcium et le phosphate aux niveaux plasmatique et urinaire, nous comprenons à quel point nous sommes efficaces en vitamine. D, dit le professeur Maria Luisa Brandi. Est-il vrai que les personnes à la peau foncée doivent s’exposer plus longtemps au soleil car la mélanine ralentit l’absorption de la vitamine D ? La mélanine réduit sa synthèse dans la peau. Cela est également confirmé par le fait que les Nord-Américains à la peau foncée ont des taux de vitamine D inférieurs à ceux des personnes à la peau blanche, même si les us et coutumes sont les mêmes.