Dans les pathologies graves, comme la démence, il est difficile de séparer les activités socio-sanitaires et sociales. Le problème est ouvert depuis de nombreuses années, mais il a atteint un point critique après les récentes décisions de certains tribunaux.
Le Santé des coursiers du 28 janvier a sérieusement abordé le problème des tarifs en RSA, à savoir si les familles devaient supporter les coûts théoriquement non liés aux soins de santé ou si le système public devait prendre en charge la totalité des frais. Le problème est ouvert depuis de nombreuses années, mais il a atteint un point critique après les récentes décisions de certains tribunaux, selon lesquelles les frais d’hôtel sont pris en charge par le NHS, car dans les pathologies graves, comme la démence, il n’est pas possible de séparer les activités socio-sanitaires des activités sociales. D’une manière générale, l’unité de la condition de l’hôte doit être reconnue, car les citoyens des RSA reçoivent des soins attentifs à toutes leurs conditions, pour lesquels l’hygiène, la nutrition et la gestion du temps doivent également être définies en fonction de l’état clinique de l’hôte.
Le personnel, en particulier, responsable de la journée du malade, prenant en charge les besoins qui sont tous profondément affectés par la présence, par exemple, de démence. Les OSS (agents socio-sanitaires) d’un RSA sont toujours particulièrement prudents lorsqu’ils réalisent toute prestation destinée à une personne souffrant d’un trouble cognitif grave. Si cet aspect est clair sur un plan général, il ne faut pas oublier de lire la réalité des RSA dans sa complexité. Aujourd’hui, un secteur qui peine à affronter et à surmonter une grave crise économique, un résidu en partie de la pandémie et en partie de l’inflation et d’autres coûts qui ont considérablement augmenté. il faut donc, concrètement, exclure qu’ils puissent prendre en charge des dépenses non liées aux soins de santé ; mais surtout, cela ne serait pas correct car le NHS (ou la région) devrait réagir.
Peut-on émettre l’hypothèse que cela se produira ou qu’au contraire se poursuivront des allers-retours entre les différents niveaux de responsabilité, avec des dégâts très graves sur l’organisation de l’assistance ? Si l’on suppose qu’environ 25 % des hôtes des RSA sont atteints de démence grave (je répète, grave, car le diagnostic de démence concerne aujourd’hui 65 à 70 % des hôtes des résidences), la charge globale pour la Santé Le fonds serait énorme et nécessiterait une allocation ad hoc à une époque de graves difficultés économiques globales (voir comment le récent décret législatif a dû gratter le fond du baril pour financer certaines dépenses des personnes âgées non autonomes). Que faire alors ? Nous espérons que sur ce sujet très délicat, une solution pourra être trouvée sous la pression des circonstances.. Cependant, je ne voudrais pas partager le pessimisme exprimé par d’autres dans le même numéro du Corriere della Sera.
* Groupe de Recherche Gériatrique, Brescia
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