Dans les rapports nationaux (et pas seulement) sur l’assistance. Nous devons de toute urgence inverser le taux de natalité et assurer les meilleurs soins possibles aux jeunes patients

La santé néonatale nécessite une évaluation particulière en raison du moment particulier auquel elle se réfère. Être en bonne santé à la naissance ne peut évidemment pas être comparé à être en bonne santé à l’âge adulte ou à un âge avancé. où ils sont exposés à des facteurs de risque complètement différents qui déterminent des maladies par ailleurs très rares pendant la période néonatale. Inversement, les nouveau-nés sont sujets à des maladies et à des complications qui parfois n’existent pas ou présentent des caractéristiques différentes par rapport à l’âge adulte. Deux articles ont récemment été publiés. Le premier Plan national de résultats (Pne), énorme travail réalisé par Agenas et qui représente un outil très utile pour notre pays. Or, dans le domaine périnatal, le Pne se concentre essentiellement sur les données maternelles, sur le nombre de césariennes et sur le nombre de naissances pour chaque centre (trop devraient être fermés rapidement car ils sont encore inférieurs à mille/an). L’absence de rien est frappante résultat néonatal.

Qu’arrive-t-il aux enfants nés dans ces centres ? Combien doivent être transférés vers des centres de référence après l’accouchement (peut-être dans des régions où un système de transport d’urgence néonatal n’est pas actif ou pleinement développé ?). Il n’existe pas de données sur les issues néonatales spécifiques bien qu’elles soient d’une importance cruciale comme la prévalence du sepsis néonatal ou nosocomial en soins intensifs néonatals ou la prévalence de l’asphyxie périnatale ou de l’aspiration méconiale. Rien n’apparaît également sur les conséquences de la prématurité (hémorragies intracrâniennes, bronchodysplasie, rétinopathie) qui ont également un impact important sur le système de santé car elles provoquent une chronicité et des handicaps qui nécessiteront une assistance et des interventions de longue durée. Certains d’entre eux résultat ils sont largement utilisés à l’étranger par d’autres agences d’évaluation de la qualité et sont encore plus importants en Italie, où il faut de toute urgence inverser le taux de natalité et garantir le maximum possible aux jeunes patients.

Le deuxième document le rapport Regards sur la santé de l’OCDE qui examine la situation sanitaire sous différents points de vue et est beaucoup plus déficient. Aucun des indicateurs ci-dessus n’est présent, tandis que les maladies et les conséquences liées à l’âge avancé, telles que l’infarctus du myocarde, sont analysées en détail. La même chose se produit lors de l’examen de technologies ou de procédures médicales où l’accent est mis, par exemple, sur les prothèses de hanche, mais certainement pas sur conséquences à long terme des maladies néonatales. Ce qu’il faut faire? La communauté médicale devrait être la force motrice de l’autorité politique en collaborant activement car la santé des nouveau-nés est placée au centre des politiques de santé. Faire passer le message selon lequel la santé du nouveau-né est d’une importance cruciale signifie montrer que l’Italie aussi un pays pour les jeunes.

* Président de la Société Européenne de Soins Intensifs Pédiatriques et Néonatals

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