L’approche diffère selon que vous ayez à faire face à un problème aigu ou chronique. Dans ce dernier cas, il est nécessaire de réduire l’inflammation pour permettre des interventions ciblées

La douleur à la colonne vertébrale est un problème qui touche presque tout le monde à un moment ou à un autre de la vie. Parfois, la douleur est dans la région du cou et des épaulesdans autres cas le lombaire avec une irradiation douloureuse qui atteint également le pied, avec le risque qu’il prenne également le dessus redoutable sciatique chronique. Le fait est que la douleur n’est pas seulement insidieuse, mais a souvent tendance à devenir un compagnon de voyage inconfortable. Tant et si bien les cervicalgies et les lombalgies sont parmi les causes les plus courantes d’invalidité chez les moins de 45 ans. Et cela est en partie dû au fait que, dans la plupart des cas, ils ne sont pas pris en charge de manière optimale, augmentant les chances qu’ils deviennent chroniques.

Comment la thérapie de la douleur doit-elle être appliquée aux maux de dos ?

11 ans à partir deapprobation de la loi 38/2010thérapie de la douleur encore mal assurée dans notre pays. Au lieu de suivre une série de procédures partagées, il y a encore beaucoup de « savoir-faire »: chacun suit, pour ainsi dire, sa propre formule — il observe Paolo Grossi, directeur de l’Uoc d’anesthésie, réanimation et thérapie de la douleur de l’Asst Gaetano Pini-Cto de Milan -. Les maux de dos ne sont généralement pas le résultat de maladies graves, c’est plutôt leur réflexion sur la vie quotidienne qui est importante. C’est pourquoi une bonne gestion de la douleur, aiguë et chronique, est essentielle.

Que faire en cas de douleur aiguë à la colonne vertébrale ?

Pour le contrer on peut compter d’abord sur médicaments anti-inflammatoires
non stéroïdieni qui servent à éteindre rapidement le fait inflammatoire. Des alliés valables ils sont la cortisone aussiqui prennent de l’altitude à des doses modestes pendant un temps limité, surtout en présence d’arthrite. Dans la sciatique Jusqu’à présent, la cortisone n’a jamais été administrée en première instance, mais des études récentes montrent que, dans certains cas, elle peut être administrée pendant une durée limitée (environ trois jours). Des associations très utiles, exploitables pour des périodes intermédiaires, sont présentes depuis des années : être rassemble les effets analgésiques du paracétamol et des opiacés « mineurs ». Ils s’avèrent à la place des relaxants musculaires un peu dépassésavec des exceptions, tandis que les thérapies de soutien toujours valables sont celles qui impliquent l’utilisation d’aides, telles que le corset pour améliorer la posture.

Quelle devrait être l’approche de la douleur chronique à la place?

Dans ces cas, la première chose à faire identifier la cause de la douleur et la prochaine étape est de l’éliminer avec des thérapies adéquates, sinon la phase définitive ne peut pas être démarrée, le vrai remède, qui est représenté par le programme de réhabilitation. Si le « feu » n’est pas éteint, en respectant la succession des phases décrites, le processus est vain. Étant donné que les maux de dos sont souvent associés à une mauvaise posture, une rééducation posturale est nécessaire. Aussi pour une bonne fonction de la colonne vertébrale Il est très important d’effectuer des exercices de renforcement musculaire qui permettent d’alléger la charge sur la colonne vertébrale et de prévenir les récidives.

Le point de départ d’une approche correcte de la douleur est sa mesure, sa dimension subjective, ou mieux encore l’appréciation du degré d’incapacité qu’elle engendre. Il existe des échelles spécifiques qui tiennent compte de nombreux facteurs et qui peuvent être très utiles.Parmi ceux-ci se trouve l’Oswestry Disability Index. En pratique c’est un questionnaire à choix multiples, capable de fournir au médecin des informations précieuses sur l’impact du mal de dos sur la vie quotidienne du patient – explique Paolo Grossi -. Le questionnaire, qui prend moins de dix minutes à remplir, évalue non seulement l’étendue de la douleur, mais aussi l’incapacité qui en résulte à prendre soin de soi (se laver, s’habiller, etc.), soulever, marcher, se tenir debout, dormir et affecter votre vie sociale et sexuelle. A partir du score obtenu, le traitement peut être mieux orienté.

Les personnes impliquées dans le traitement de la douleur peuvent compter à la fois sur un usage mixte de plusieurs droguesà la fois sur leapplication physique de courants électriques, de chaleur ou de très basses températures. De cette façon, nous sommes en mesure de nous rapprocher le plus possible du générateur de douleur et de délivrer des médicaments ou des énergies à ce point (comme l’électrostimulation et la radiofréquence).

Enfin, le développement récemment possibilité d’agir directement sur le générateur de douleur (par exemple au niveau d’un disque intervertébral) avec injection cellulaire (autogreffe de cellules souches mésenchymateuses, concentrés plaquettaires) qui incitent aux phénomènes de réparation et de régénération de la structure atteinte par la pathologie.

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