Il arrive souvent que des personnes occupées par divers engagements, avec des rythmes quotidiens, se rendent compte qu’elles sont profondément stressées et éprouvées. Cela peut arriver, surtout quand on se rend compte que la feuille de route est si serrée et que trop d’engagements se profilent à l’horizon. La pleine conscience dans ce sens peut être utile.

En quoi consiste cette approche ?

Cette pratique, de Origine bouddhiste, nous permet d’être conscient de « l’ici » et du « maintenant », favorise l’attention et la concentration. Des recherches récentes ont montré que la pratique constante nous permet de :

  • améliorer l’humeur;
  • Santé;
  • vie sociale;
  • maîtrise de soi;
  • productivité;
  • les connexions neurologiques de votre cerveau ;
  • l’introspection, l’absence de jugement, nous permettent d’être plus maîtres de notre corps et conscients des émotions que nous ressentons.

Comment commencer?

Dans cet article, je voudrais partager avec vous deux activités simplesce qui prendra quelques minutes par jour entre le matin et le soir.

Pratique du matin

Réveillez-vous une dizaine de minutes plus tôt. Asseyez-vous sur le lit ou sur un oreiller et faites quelques longues respirations profondes inspirer de l’air par le nez et l’expirer par la bouche. Concentrez-vous sur le corps, sur les sensations que vous ressentez. Si les pensées prennent le dessus c’est normal : avec bienveillance et convivialité revenez au souffle. Prenez tout le temps dont vous avez besoin. Lorsque vous sentez qu’il est temps, calmement et à votre rythme, vous pouvez ouvrir les yeux.

Pratique du soir

Allongez-vous sur le lit. Concentré comme toujours sur la respiration, en partant des pieds et en se concentrant sur chaque partie du corps, en inspirant et en expirant. Si vous remarquez des parties plus tendues ou raidies, respirez plus profondément. Lorsque la pratique est terminée, lentement et à votre rythme vous pouvez ouvrir les yeux.

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