Directeur des Feutres,
Le flot de commentaires haineux que les partisans d'Ilaria Salis formulent à propos des messages publiés par le nouveau député est impressionnant. Beaucoup sont dirigés contre le Premier ministre Meloni et beaucoup contre le général Vannacci. Comme on sait évidemment aussi à gauche que Salis est un batteur de gens qui ne pensent pas comme elle, la dame est invitée, ou plutôt incitée, à tabasser son collègue député européen Vannacci, accusé par ces gens d'incitation à la haine et à la violence. . Il me semble que Vannacci subit depuis un certain temps la haine et la violence de la part de ceux qui le considèrent comme fasciste, raciste et dangereux. Il y a ceux qui expriment le désir de le tabasser. La gauche se déclare contre la haine mais la produit.
Elle se déclare démocrate mais continue de s’en prendre à un citoyen élu par plus d’un demi-million d’Italiens, dont moi. Et j’ai voté pour lui parce que Vannacci n’est qu’une autre personne persécutée dans l’histoire à cause de ses opinions, qui ne constituent pas un crime.
Francesco Biale

Cher François,
Il existe des faits incontestables dont les ennemis de Roberto Vannacci, dont beaucoup sont de fervents partisans d’Ilaria Salis, devraient prendre note. La première est que Vannacci n'a commis aucun crime, tandis que Salis a déjà été condamnée et est actuellement jugée (temporairement suspendue suite aux élections visant à lui sauver la peau de la prison) pour des crimes similaires à ceux pour lesquels elle a déjà recueilli des condamnations. . De plus, il semble que la dame soit une occupante illégale de propriétés fière et invétérée. Pour la camarade Ilaria, le travail illégal est un peu comme la charité pour le bon chrétien, une activité respectueuse et nécessaire. De plus, c'est quelque chose qui fait un curriculum. Je ne sais pas si Vannacci, qui n'a pas reçu de condamnations mais d'honneurs, ait jamais battu quelqu'un qui ne pensait pas comme lui ou occupé la propriété d'autrui. Pourtant, la gauche considère Salis comme une brebis perdue et Vannacci comme une sorte de criminel.

Cet homme a été inondé de menaces, d'insultes, d'attaques, la violence qui lui a été infligée est sans précédent, tout cela parce qu'il a écrit un livre dans lequel le général ne fait que dire des évidences irréfutables, ces vérités auxquelles les champions de la politique politique l’exactitude sont allergiques, plus disposés à tolérer un mensonge colossal plutôt qu’une vérité qui contredit certaines de leurs croyances idéologiques. Un autre fait incontestable est que toutes les accusations formelles contre le député de la Ligue ont été abandonnées, c'est-à-dire qu'elles n'ont pas donné lieu à des poursuites judiciaires mais ont été archivées. De qui? De ce même système judiciaire que la gauche défend mais seulement quand cela lui convient. Si les peines ne sont pas appréciées par les démocrates, les juges sont accusés d'avoir commis des erreurs et de ne pas être équitables. Il y a environ un mois, la plainte déposée par la volleyeuse noire Paola Egonu contre le général a été rejetée pour la deuxième fois, par laquelle l'athlète s'est sentie diffamée et offensée en raison d'une phrase contenue dans le célèbre livre de Vannacci : « Même si Paola Egonu a l'italien citoyenneté, il est clair que les traits de son visage ne représentent pas son caractère italien. » Eh bien, où est l'insulte ? Ceci est une simple observation. À tel point que le juge d'instruction de Lucca a ordonné le non-lieu, contesté par la championne, qui ne s'est pas résignée au rejet de sa plainte, et ainsi l'opposition d'Egonu a été rejetée et le deuxième non-lieu a été prononcé. Bref, Vannacci n’a pas insulté le volleyeur. Le juge d'instruction a soutenu que « rien n'indique un dépassement de la limite de continence qui puisse être considéré comme révélateur d'une volonté du suspect d'offenser gratuitement la réputation » d'Egonu, « de la dénigrer, de la diminuer ». sa valeur, pour commettre une atteinte indue à la personne ». Vannacci n'est pas un raciste, c'est simplement un homme qui ne s'adapte pas aux hypocrisies de notre temps et dont les propos ont été savamment exploités pour soutenir le victimisme qui est désormais devenu la coutume dominante à gauche.

Cependant, le résultat le plus important démontrant que Vannacci n'a commis aucun crime en exprimant ses opinions est survenu il y a quelques jours, lorsque le tribunal militaire de Rome a décidé de rejeter les accusations portées contre lui pour incitation à la haine raciale, désobéissance aux lois et commission de crimes. .

Le casier judiciaire du député européen, contrairement à celui du

collègue Salis, reste impeccable. Ce qui reste sale, cependant, c’est la conscience de cette gauche qui montre l’index de la même main utilisée pour semer la haine contre des gens honnêtes et respectables, simplement coupables de ne pas les aimer.

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