Confirmation de certaines recherches sur les policières conduisant des voitures de police et sur les mères qui quittent tard leur travail pour aller chercher leurs enfants à l’école, mais qui arrivent toujours à l’heure.
En Italie, il y a aujourd’hui près de 15 000 femmes policières qui ont rejoint la police d’État en 1959 et beaucoup d’entre elles conduisent des hélicoptères et des voitures de police comme leurs collègues masculins, accomplissant leur service avec un grand professionnalisme. Selon diverses recherches, nonelle femme
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capacité d’orientation spatialequi sont fondamentales par exemple pour poursuivre une voiture de criminels en fuite ou pour atteindre le plus rapidement possible une banque où se déroule un vol, seraient inférieures à celles des humains, mais une étude publiée dans Rapport scientifique par un groupe de chercheurs australiens et suisses, a démontré que si au contraire la femme motivé par un état de stress comme cela arrive souvent à ceux qui conduisent un volantle ses capacités d’orientation se multiplient et ils n’ont rien à envier à ceux d’un policier.
La boussole du stress
La même chose arrive à n’importe qui maman qui, peut-être un jeu en retard de mon travail, il doit courir pour récupérer les enfants qui s’apprêtent à quitter l’école ou la crèche : ses choix d’itinéraires sont impeccables et arrive toujours à l’heure. Les chercheurs, dirigés par Victor Schinazi, qui travaille à la fois à l’Université de Zurich et à la Bond University en Australie, ont comparé 69 sujets des deux sexes âgés de 19 à 36 ans, dont 29 femmes, répartis dans un groupe témoin (13) et en un (16) pour être soumis à un test d’une durée d’environ une heure. Chacun recevait un salaire initial de 40 francs suisses chacun.
Carte cognitive
Un peu à l’image de ce qui se fait désormais avec Google Map ou le navigateur automobile pour retrouver une rue inconnue, tout le monde a vu une carte d’une ville virtuelle sur l’ordinateur dans lequel j’ai été mis en valeurà leur position et celle à atteindre dans les 16 minutes avec un itinéraire de leur choix. En psychologie, ce processus est appelé Carte cognitive allocentrique c’est-à-dire qu’il fait référence à des éléments extérieurs à nous et consiste en la création mentale d’un chemin sans le compléter réellement.
Apprentissage
Pour chaque seconde perdue pour terminer le parcoursles participants ont payé une gage pécuniaire déduits de la compensation promise pour l’étude, ce qui les plaçait déjà dans une situation de contrainte initiale. Les femmes ont mis 40 % plus de temps à construire leur carte cognitive que les hommes pour localiser des points de référence. En particulier, ceux du groupe témoin étaient plus lents que les hommes et les femmes du groupe test. Toutes les femmes ont été plus prudentes dans l’apprentissage du test et ont passé plus de temps à consulter la carte, mais des femmes envahies par le stress de l’épreuve Oui ils se sont dirigés plus directement vers le butcomme les mâles.
Le coeur ne ment pas
Essentiellement le stress pousse les femmes à performer de manière masculine. Les évaluations physiologiques ont également confirmé l’effet positif du stress sur les femmes : en effet, un rythme cardiaque augmenté chez ceux qui ont réalisé le test qui n’était pas corrélé au temps restant pour le réaliser, comme pour dire que le stress active le cercle lorsqu’il faut atteindre le but, jamais
L l’idée de ne plus avoir de temps disponible ne les rendait pas anxieux et ne modifiait pas leur fréquence cardiaqueau même titre que les hommes qui ne sont généralement pas très impressionnés.
La sous-commissaire Lolita Lobosco de l’escouade volante de Bari, protagoniste de la série télévisée à succès interprétée par Luisa Ranieri, a peut-être le cœur qui bat à tout rompre en vous poursuivant, mais elle vous atteindra comme Al Pacino dans Serpico.
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