Vaccins oui, vaccins non. La controverse entourant les revendications de Marcellus Gemmato. Le sous-secrétaire à la Santé, lors de l’émission Rai 2 Restart-Italy recommence avec vousa en effet exprimé sa perplexité quant à l’efficacité de la vaccins contre la Covid. La même chose a ensuite été démentie dans une note ultérieure dans laquelle Gemmato non seulement se déclarait en faveur des vaccins, mais soulignait également l’évidente décontextualisation et l’exploitation de ses propos par l’opposition. Au-delà de la polémique, l’utilité des vaccins a été prouvée scientifiquement.
Pour confirmer celui-ci étude Publié le Les maladies infectieuses du Lancet selon laquelle les sérums ont sauvé 14,4 millions de personnes et réduit la mortalité pour Covid de 79%. Si l’on considère les décès non comptabilisés officiellement, le nombre s’élève à 19,8 millions d’individus. Parmi ceux-ci, 15,5 millions de décès ont été évités grâce à l’effet direct des vaccinations, le reste grâce à l’effet indirect de ces dernières. A cet égard, il suffit de penser à la moindre pression sur les systèmes de santé des pays et à la réduction de la transmission virale.
Les vaccins anti Covid en Italie
Il existe deux types de vaccins anti-Covid administrés dans notre pays depuis le début : ceux ARNm (Cominarty Pfizer/BioNTech) et ceux d’un vecteur viral (AstraZeneca et Janssen). Comment travaillent-ils? Tout d’abord, il est bon de clarifier le sens de vaccin. C’est une préparation pharmacologique qui, en stimulant le système immunitaire, l’incite à produire les anticorps nécessaires à l’immunisation contre un pathogène spécifique. Pour ce faire, il doit contenir quelque chose qui appartient à l’agent (viral ou bactérien) qui, en termes médicaux, s’appelle un antigène.
LA vaccins à ARNm présentent dans leur composition des parts d’ARN messager du SARS-CoV-2 sur lesquelles les instructions nécessaires pour coder le Protéine de pointe du virus. Une fois que ces vaccins pénètrent dans les cellules, ils codent pour la protéine virale qui, à son tour, incite le système immunitaire à produire les anticorps essentiels à la vaccination. Dans les vaccins à vecteurs viraux, en revanche, il s’agit d’un adénovirus rendu inoffensif pour insérer la séquence SARS-CoV-2 codant pour la protéine Spike dans la cellule réceptrice.
Actuellement les doses boosters ou rappel avec des vaccins à ARNm sont quatre et sont administrés après une période préétablie à partir de la fin du cycle de vaccination ou de la guérison de la maladie. Fondamentaux pour les personnes âgées et pour tous les sujets fragiles, ils visent à maintenir un niveau de réponse immunitaire adéquat dans le temps.
Le nouveau vaccin anti-Covid formulé avec la variante Beta
Des chercheurs du Massachusetts General Hospital ont récemment identifié des cibles vaccinales stables à cellules T dans le coronavirus. La découverte de ces cibles connus sous le nom d' »épitomés hautement en réseau » ouvre la voie à la création d’un vaccin à lymphocytes T Covid à large spectre. En attendant de futures confirmations, la science continue son chemin. En effet, après l’avis favorable émis par le comité des médicaments à usage humain (CHMP) de l’Agence européenne des médicaments (EMA), la Commission européenne a approuvé le premier vaccin de rappel anti-Covid de nouvelle génération adjuvanté pour base protéique avec Variante bêta.
Développé par Sanofi et GSK, le vaccin est efficace contre tous variantes. Ces dernières sont distinguées : variantes de préoccupation, d’intérêt et de surveillance. Parmi les premiers se trouve la variante Omicron et ses sous-variantes relatives qui, bien qu’impliquant des symptômes plus légers, se transmettent plus facilement que Delta. Philip Dormitzer, responsable mondial de la recherche et du développement des vaccins, a déclaré : « Cette approbation de la Commission européenne est une étape importante pour fournir de nouvelles solutions de vaccins à l’Europe pour l’hiver. Notre candidat vaccin adjuvanté à base de protéines a le potentiel d’apporter une contribution importante à la santé public avec la poursuite de l’évolution de la pandémie.
L’efficacité du nouveau vaccin Covid
Développé pour assurer une large protection contre de multiples variantes, le vaccin de rappel Covid à base de protéines fonde sa fonctionnalité sur l’antigène variant bêta et comprend leadjuvant pandémique par GSK. Il s’agit d’une dose de rappeler pour l’immunisation active contre le SRAS-CoV-2 chez les adultes de 18 ans et plus qui ont déjà reçu un vaccin à ARNm ou à vecteur viral. Dans les enquêtes menées lorsque les souches d’Omicron étaient répandues, le nouveau vaccin a induit une forte réponse immunitaire contre de multiples variantes.
Parmi les divers Éducation pour tester sa validité, celle menée par l’Assistance Publique – Hôpitaux de Paris (AP-HP) apparaît. Les scientifiques ont testé le vaccin de rappel après la primovaccination avec deux doses de Pfizer BioNTech. Le nouveau sérum a induit une réponse immunitaire mesuré par des titres d’anticorps neutralisants supérieurs au rappel réalisé avec le vaccin à ARNm. De plus, le vaccin à base de protéines a pu produire un plus grand nombre de anticorps neutralisants contre les souches Omicron BA.1 et BA.4/BA.5 par rapport au vaccin de rappel comparateur.
Le vaccin, basé sur des protéines recombinantes, a été développé par Sanofi sur le modèle du variant Beta et comprend l’adjuvant pandémique produit par GSK. La même technologie est utilisée dans le vaccins contre la grippe saisonnier Sanofi déjà approuvé. Le nouveau sérum sera disponible dans différents pays européens grâce à l’accord d’achat anticipé (APA) conclu avec la Commission européenne.