Chers tous, Mon père, 84 ans, diabétique insulino-dépendant, cardiaque, a été diagnostiqué il y a environ un an et demi de parkinson vasculaire.
On lui a prescrit 1/2 comprimé de Madopar 200/50 le matin, un et six l’après-midi.
Le médicament, cependant, n’a pas d’effet sur moi.
Sa mobilité s’est à peu près effondrée. Chaque jour vers midi, il se sent brisé ; il parvient juste à déjeuner et doit ensuite s’allonger sur le canapé pour se reposer au moins jusqu’à 4 heures de l’après-midi ; l’incontinence urinaire ne lui donne pas de répit (il doit aller aux toilettes au moins toutes les dix minutes) – ils ont prescrit Betminga (1 comprimé par jour) mais nous avons vu peu d’amélioration.
Son humeur s’est également considérablement détériorée.
Il a subi un examen par ponction lombaire pour une éventuelle normotension cérébrale mais sans résultat.
Maintenant, ils lui ont fixé un autre chèque à la fin du mois de mai.
Mais que se passe-t-il si cela devient encore pire ?
La dose de Madopar ne pourrait-elle pas être augmentée ?
Pardonnez-moi mais vos collègues nous traînent de six mois à six mois sans clarifier la situation.
Cordialement.

de Paolo Guglielmetti

La réponse du Prof. Gianni Pezzoli

Chère Madame,
c’est une situation très complexe, le diagnostic de parkinsonisme vasculaire est un diagnostic beaucoup moins fréquent qu’on ne le pense et doit être investigué en voyant le patient. Si une fatigue et une asthénie apparaissent après la prise de lévodopa, il est possible qu’il y ait une baisse de la pression artérielle suite à la prise de lévodopa/inhibiteurs de la carboxylase. Le tableau est donc très complexe et il ne serait pas sérieux de vous donner des indications précises sans visiter le patient, ou du moins avoir vu tous les tests. Prolongation du médecin généraliste

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