L’intervention de papa et maman peut parfois être néfaste et générer des conflits. Des attentes élevées peuvent interférer avec le processus d’apprentissage. On en parle dans Corriere Salute en kiosque gratuitement avec Corriere della Sera le jeudi 15
Nous publions en avant-première une partie d’un article dans le nouveau Corriere Salute. Vous pouvez lire le texte intégral dans le numéro gratuit en kiosque le jeudi 15 septembre ou en Pdf sur l’édition numérique du Corriere della Sera.
Avec la reprise des activités scolaires, comme chaque année, celle dusi les devoirs sont utiles ou non, leur impact sur le niveau d’apprentissage et potentiellement aussi leur influence sur certaines variables de la santé de l’enfant. Et puis il y a la question de savoir si les parents sont impliqués ou non dans la réalisation des tâches. Une étude publiée dans le Journal of Research in Childhood Education est parvenue à la conclusion que l’implication des parents dans le suivi des devoirs des enfants du primaire il ne semblerait pas avoir d’effet sur le niveau des résultats obtenus à l’écoletant en lecture qu’en mathématiques. La recherche a été menée rétrospectivement, en utilisant des données nationales américaines de 1997 à 2011, et dans l’analyse des données a pris en compte des variables telles que le statut socio-économique de la famille et le niveau culturel des parents.. Ses résultats semblent contredire le bon sens, étant donné qu’intuitivement l’aide des parents à la maison devrait représenter une sorte de renfort à ce qui est fait à l’école par l’enseignant. Mais selon les auteurs de cette recherche, coordonnée par Katerina Bodovski des études sur les politiques éducatives à l’Université d’État de Pennsylvanie, il est possible d’émettre des hypothèses sur certaines explications à ce qui a été observé.
Par exemple, faire ses devoirs ensemble peut être source de conflits dans la famille et donc finalement ne pas conduire à ces résultats positifs auxquels on pourrait s’attendre ; ou probablement que je les parents finissent par faire leurs devoirs eux-mêmes afin d’avoir ensuite plus de temps libre, au lieu d’essayer de stimuler l’enfant à essayer de procéder par lui-même. Ou bien il y a des cas où les parents peuvent mettre toute leur bonne volonté en jeu mais sans avoir les compétences didactiques nécessaires pour que les nouvelles générations étudient. Sans oublier que les pères et les mères avec des attentes trop élevées peut générer chez les enfants réactions négatives à l’ensemble du processus d’apprentissage.
Vous pouvez poursuivre la lecture de l’article du Corriere Salute en kiosque gratuitement le jeudi 15 septembre ou en PDF sur l’édition numérique du Corriere della Sera.